Un lien de subordination n’est pas rencontré dans le chef d’un ambulancier volontaire, libre d’organiser son temps de travail, et, lorsqu’il est confronté à un problème, d’évaluer lui-même son ampleur, avec faculté, s’il estime que celui-ci ne lui permet pas de continuer ses prestations, de mettre le service d’ambulance en arrêt, ce sans autre obligation que celle d’avertir la centrale d’appel à titre informatif.